Impact des énergies renouvelables (ENR) sur les économies d’énergie

Réaliser des économies repose sur une question à trois variables qui somme toute est assez simple à appréhender. Dans un premier on peut réduire ses besoins en consommation énergétique grâce à une meilleure isolation thermique (isolation des murs, isolation des combles etc.). Dans un second temps on peut réduire le volume des sources d’énergie consommées grâce par exemple aux chaudières nouvelles génération (chaudière à condensation, chaudière à micro cogénération etc.).

Dans un troisième on peut prendre le pari des énergies renouvelables (énergie éolienne, énergie photovoltaïque etc.).
Ici nous mettrons l’accent sur l’utilisation des énergies renouvelables et de leur impact sur les stratégies d’économies d’énergie.

Par le vocable « énergies renouvelables » on désigne un large éventail de sources d’énergies diverses aussi bien dans leur nature que dans leur utilisation potentielle.  
Parmi les sources d’énergies renouvelables les plus populaires ou en tout cas les plus ancrées dans l’imaginaire collectif on peut citer l’énergie solaire photovoltaïque, l’énergie éolienne, l’énergie marémotrice etc.
Dans un usage courant, ces sources d’énergie peuvent servir à produire du courant électrique à usage domestique ou industriel (panneaux (voire centrales) solaires photovoltaïque) , de la chaleur pour le chauffage de l’eau sanitaire (chauffe eau solaire individuel) etc.
Les énergies renouvelables permettent de réaliser d’importantes économies d’énergies
En effet, basé sur des sources d’énergies qui sont pratiquement disponibles à faible prix et  à volonté, sans aucune limite de temps, de quantité ou même d’espace ; les énergies renouvelables semblent à ce jour être la meilleure réponse possible qu’on puisse apporter aux énergies fossiles de plus en plus rares et chères et aussi au réchauffement climatique.

Pour donner un coup de pouce à l’utilisation des systèmes basés sur les sources d’énergies renouvelables, l’état a mis sur point plusieurs dispositifs d’aides et de subventions écologiques à l’image du crédit d’impôt (qui existe depuis 2005) des aides Anah et Ademe.